Accéder aux établissements recevant du public, c’est pouvoir s’assumer pleinement sans avoir à « quémander » l’aide d’autrui, c’est pouvoir vivre sa citoyenneté conformément à la loi du 11 février 2005. Accéder aux établissements recevant du public, c’est exister.

Aujourd’hui, seuls 30% des établissements sont réellement accessibles, les 70% restant le seront « vraisemblablement » après la réalisation des Agendas d’Accessibilité Programmée (Ad’Ap) dans 3, 6 ou 9 ans,  en espérant que les travaux seront bien réalisés et que l’autorité administrative suivra scrupuleusement leur déroulement et n’hésitera pas à sanctionner si nécessaire.